Bien entendu, il est impossible de dissocier le destin de l’homme de celui de la Terre.

La nature aura le dessus. Cependant, il apparait que l’homme est capable de la détruire par étouffement, un peu comme si un corps bouchait tous ses pores !

Estrecho évoque l’attitude humaine de destruction prête à tout, mais aussi l’espoir qu’en un homme mauvais le bon puisse apparaitre. Dans mon roman, tous les personnages portent cette dualité.

Estrecho c’est la mer qui bat comme un cœur ou un poumon, et pourtant l’homme inconscient s’en sert comme d’un dépotoir. Pour l’instant, la mer est encore capable de nourrir des millions de personnes. Elle est même parfois la seule possibilité de survie des indigents, les délaissés et les oubliés de notre monde à la dérive.